Et les enfants d’abord
Une jeune mère de famille, comédienne, se trouve entraînée dans les joyeux remous d’un seule-en-scène. Et les enfants d’abord n’est pas une pièce pour enfants. C’est un seule-en-scène qui raconte l’histoire d’une jeune mère de famille qui se retrouve seule en scène. C’est peut-être un spectacle rigolo. Ce n’est pas un documentaire sur la maternité, même si c’est l’occasion d’enrichir son vocabulaire. C’est un défilé de célébrités*. C’est un multipack familial qui comprend du théâtre, de la danse et du chant. Il y a encore plein d’autres trucs super mais bon, c’est déjà pas mal de promettre tout ça.
*participation exceptionnelle de Johnny Depp, Frédéric Mitterrand, Baloo et Dieu (en voix off seulement)
Le Désordre des choses
Une disparition, un vertige. Une jeune fille mendiante, sans le sou. Un homme mélancolique, se tenant à l’écart du monde. Deux solitudes, deux vies qui n’existent plus aux yeux des autres, l’une qui trouve chez Jacques Prévert des ailes pour voler encore, l’autre dans le souvenir des films de Buster Keaton une fenêtre sur les ciels bleu pâle de son enfance. Dans ces textes inédits de Daniel Keene coulent des mots simples et poétiques qui disent le désordre du monde. Mariant théâtre, danse, musique et cherchant son inspiration du coté
du burlesque, Le Désordre des choses laisse la parole danser et les corps déplacer l’histoire là où on ne l’attend pas.
Sweet potatoes
Un père, une fille. Daniel, ouvrier automobile, la cinquantaine bien tapée. Douce, qui aimerait terminer ses études par un stage en Angleterre. Mais l’argent manque et la chute des ventes de voitures n’arrange rien. Daniel est prêt à tout, quitte à s’endetter davantage, et tant pis s’il descendra encore dans l’estime de son père, ouvrier lui aussi, d’un autre temps. Superposant les enjeux familiaux, sociaux et économiques, évitant tout misérabilisme et manichéisme, SWEET POTATOES dresse avec une brûlante actualité le portrait de deux êtres malmenés par le monde, mais bien décidés à rester debout. Debout et vivants.
Figaroh
Endossant les rôles de Suzanne, Figaro, le Comte, la Comtesse, Chérubin et bien d’autres encore, deux chanteurs lyriques, deux comédiens et un pianiste emmènent le public dans un chassé-croisé amoureux, brouillant les pistes, échauffant les cœurs et les zygomatiques. Décapée (1h30 chrono !) et décapante, cette adaptation n’en reste pas moins fidèle à l’esprit des œuvres qui l’ont inspirée et auxquelles elle rend ainsi hommage.
Aime, perd et passe !
Chloé, comédienne et maman de trois enfants, est invitée à l’émission télévisuelle inspirée du Destin, le jeu de la vie, ce jeu de société des années nonante dans lequel on tournait une roue qui déterminait ce qu’on allait devenir professionnellement… et personnellement ! Mariage, enfants, voire même séparation, tout était possible. Le meilleur comme le pire.